Le 30 décembre dernier nous avions évoqué la fin de « l’affaire » armée de Terre française Renault Trucks Défense (RTD). On s’en souvient, l’armée de Terre roulera bien dans les années à venir avec du matériel combinant Iveco (constructeur italien) et Lohr (carrossier français).

C’est assez drôle. Il n’y a pas si longtemps, nous avions dérapé en évoquant l’île Seguin, de Boulogne-Billancourt. Cette île située à côté de Paris a été des années durant, au XXè siècle, un symbole, économique et social, parfois politique, à travers la présence de Renault.

Des BMW traction, cela fait un moment que l’on en parle. Jusqu’à présent rien de très précis ne s’est cependant concrétisé.

Continuons de nous intéresser à Cadillac.

Cadillac a annoncé son retour à la compétition en fin d’année 2010. Ce retour va s’effectuer cette année par où son retrait avait été réalisé, dans une discipline américaine dénommée SCCA World Challenge, qu’il nous arrive de croiser sur notre chemin.

Depuis quand nous intéressons-nous, sur Caradisiac, aux yachts ? Depuis que des voitures peuvent rouler dessus. Ou depuis qu’ils sont pourvus de moteurs de voiture, par exemple.

Aston-Martin, Audi, Peugeot : complètement. Toyota : partiellement. Voilà les grands constructeurs présents la saison à venir en LMP1. Liste à laquelle il faut ajouter Honda.

Rrésenté à Paris lors du dernier mondial de l’Automobile, en octobre dernier, Chevrolet annonce la commercialisation de son nouveau monospace 7 places, l’Orlando ce à partir de début 2011 en France. Et prend dans la foulées des commandes avant la fin de l’année à un prix très agressif de 15.990 euros.

Le monospace Peugeot 5008 vient d’être élu du prix de « Taxi de l’année » dans sa version 1,6 litre HDi 112 chevaux. Le monospace de la firme au lion, s’impose ainsi devant plus de 30 autres modèles également en compétition pour ce prix. Un prix remis par le magazine l’Officiel du taxi, revue professionnelle de référence, et issu du vote d’un jury composé de journalistes, de représentants des fédérations et de plus de 600 abonnés au magazine. Un véritable plébiscite de la profession en quelque sorte.

L’année de son centenaire, la firme milanaise retrouve ses terres d’inspiration en ressuscitant un glorieux patronyme. Tout un symbole.