Dubaï. Terre de l’exubérance automobile, refuge incontournable pour toutes les supercars les plus coûteuses, les plus puissantes et les plus rares au monde. Mais aussi, pour des énergumènes qui combattent l’ennui et la routine sur leurs autoroutes au volant d’engins surprenants et n’ayant rien à voir avec les limousines bling bling et autres voitures de sport généralement associées à la riche clientèle des Emirats.

La pluie pour la saison 2010, c’est un élément vital. Vital car à chaque fois que les goutes sont venues perturber les processions de monoplaces, l’ennui s’en est allé. Il est malheureusement vite revenu en Espagne le week-end dernier puisque le Grand Prix a finalement été disputé en intégralité sur le sec. Mais on reparle déjà d’un risque de pluie dans les rues de la principauté de Monaco.

Nous n’aurons pas été les seuls à noter que s’il n’y avait pas eu une météo agitée durant ces 2 derniers Grand-Prix, le début de saison de F1 aurait pu être d’un ennui total ! Bernie Ecclestone fait le même constat, et pense qu’il faudrait des changements techniques : « Ne soyez pas dupes. Nous avons été chanceux avec la pluie. Nous devons faire quelque chose. Pour la première fois, les équipes ont réalisé qu’elles doivent faire quelque chose à ce sujet. Nous n’avons pas besoin de grilles …